FEMMES
Si avant que je n'atterrisse dans ce monde,
Le Bon Dieu m'avait fait de sexe féminin,
M'aurait-il fait de toutes les vertus profondes
Qui leur servent de guide dans tous les chemins ?
Alors que d'aucuns dans ce monde plus qu'infâme,
N'ont d'yeux que pour cet être appelé maman,
Je suis béni de connaitre d'autres femmes,
Qui me sont arrivées tout droit du firmament.
O femmes ! Vous m'avez appris ce que vous êtes :
Des coeurs qui témoignent le plus beau des amours !
Vous n'êtes pas que des bras, des jambes et des têtes,
Un aura de plus enveloppe vos contours !
Si dans ce monde j'ai la tête d'un idiot,
Alors sachez que je suis le plus beau d'entre eux !
Car dans la panoplie de maux et d'imbroglios,
Je suis le produit de leur savoir amoureux !
O femme ! Toi qui m'as porté dans tes entrailles,
Supportant le fardeau de tous mes mouvements ;
Femme, tu m'as taillé dans le moindre détail,
La toute première que j'appelle maman !
O femme ! Toi qui ne cesse d'être présente,
Ma copilote dans ce voyage pénible ;
Votre amour rend ma vie encore moins pesante,
Un amour qui a pris tout mon être pour cible !
Ces mots quoiqu'écrits, ne sont pas vraiment grand chose,
Même s'ils étaient parlés, ils n'en seraient rien ;
Si exprimer ses sentiments le muet ose,
La parole ne saurait témoigner les miens !
Mais puisqu'il me faut de tout mon coeur vous aimer,
Les mots sont pour le poète la plus grande arme ;
Dans mon coeur ces mots ne seront jamais gommés,
Parce que le feu n'éteindra jamais sa flamme !
Le Marc
À lire aussi : Femme - Christian EBONGO
Si avant que je n'atterrisse dans ce monde,
Le Bon Dieu m'avait fait de sexe féminin,
M'aurait-il fait de toutes les vertus profondes
Qui leur servent de guide dans tous les chemins ?
Alors que d'aucuns dans ce monde plus qu'infâme,
N'ont d'yeux que pour cet être appelé maman,
Je suis béni de connaitre d'autres femmes,
Qui me sont arrivées tout droit du firmament.
O femmes ! Vous m'avez appris ce que vous êtes :
Des coeurs qui témoignent le plus beau des amours !
Vous n'êtes pas que des bras, des jambes et des têtes,
Un aura de plus enveloppe vos contours !
Si dans ce monde j'ai la tête d'un idiot,
Alors sachez que je suis le plus beau d'entre eux !
Car dans la panoplie de maux et d'imbroglios,
Je suis le produit de leur savoir amoureux !
O femme ! Toi qui m'as porté dans tes entrailles,
Supportant le fardeau de tous mes mouvements ;
Femme, tu m'as taillé dans le moindre détail,
La toute première que j'appelle maman !
O femme ! Toi qui ne cesse d'être présente,
Ma copilote dans ce voyage pénible ;
Votre amour rend ma vie encore moins pesante,
Un amour qui a pris tout mon être pour cible !
Ces mots quoiqu'écrits, ne sont pas vraiment grand chose,
Même s'ils étaient parlés, ils n'en seraient rien ;
Si exprimer ses sentiments le muet ose,
La parole ne saurait témoigner les miens !
Mais puisqu'il me faut de tout mon coeur vous aimer,
Les mots sont pour le poète la plus grande arme ;
Dans mon coeur ces mots ne seront jamais gommés,
Parce que le feu n'éteindra jamais sa flamme !
Le Marc
À lire aussi : Femme - Christian EBONGO
Glodi Marco Bamenga, Le Marc (pseudo) |
Glodi Marco Bamenga, connu sous le pseudo Le Marc, est détenteur d'une licence en droit de l'Université Catholique du Congo (UCC), mais aussi un passionné de la belle littérature, faisant de lui un écrivain et poète. Il compte un recueil de poèmes intitulé MA VIE EST UN POÈME, publié aux éditions Zoé, 2018. Cofondateur et vice-président du Collectif Envie D'écrire, Le Marc œuvre dans la promotion de la littérature congolaise à travers ses productions mais aussi quelques activités dans la ville de Kinshasa.
courage le marc👏✌
RépondreSupprimerMerci pour lui. Ils vont arriver à la destination, tes encouragements.
SupprimerEt ils sont arrivés, merci Fady Ambroise !
SupprimerMerci Jonathan Bizigue !
SupprimerGood 👍🏽
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